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#Génétique animale : la diversité génétique des populations animales, une ressource pour les élevages de demain |
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Dans un contexte de changement global et d’évolution forte des attentes du citoyen et du consommateur, les filières animales doivent repenser les systèmes d’élevage de demain, combinant performance économique, environnementale, sanitaire et sociétale. Le domaine d’innovation « Génétique animale » se propose de mobiliser la diversité génétique présente dans les populations animales d’élevage pour répondre à ce défi. Pour tirer le meilleur parti de cette ressource, l’Inra a réuni les compétences et l’expertise d’équipes de recherche reconnues, d’infrastructures expérimentales hébergeant des ressources génétiques originales et de plateformes de pointe en génomique, informatique et bioinformatique. Ces équipes développent des travaux multidisciplinaires, de la connaissance fine des génomes à la conception de méthodes performantes d’amélioration génétique des populations, en passant par l’analyse du déterminisme de la variabilité des caractères, avec un partenariat académique et professionnel historique fort. Ces travaux font de la diversité génétique un levier de choix au service de la conception de systèmes d‘élevage plus diversifiés, plus durables et créateurs de valeur
Edwige Quillet, chef du département Génétique animale Vos contacts, en fonction de vos espèces d’intérêt : Didier Boichard (ruminants, cheval) et Hervé Garreau (monogastriques, poissons et abeille), chargés de partenariat et d’innovation
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Résultats de recherche et innovations |
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Destiné aux porteurs de projets d’agriculture urbaine ainsi qu’aux opérateurs de l’aménagement urbain, Destisol’AU, projet en pré-maturation à l’INRA, vise à caractériser les sols, leurs fonctions et les services écosystémiques qu’ils apportent pour concrètement orienter les formes d’agriculture urbaine et les choix d’espèces cultivables sur un sol donné. Un Outil d’Aide à la Décision (OAD) sera proposé aux acteurs.
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La mesure des propriétés optiques du tissu adipeux avec un spectrocolorimètre portable permet de discriminer les carcasses d’agneaux nourris avec de l’herbe de celles d’agneaux nourris avec des aliments concentrés. Ces mesures réalisables sur la chaine d’abattage montrent que la méthode est efficace pour différentes races d’agneaux.
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Des chercheurs de l’Inra en collaboration avec l’IFCE (Institut Français du Cheval et de l'Equitation) révèlent que les juments dont l'alimentation est supplémentée en arginine durant leur première gestation ont un métabolisme mieux adapté et une fonction placentaire améliorée en comparaison des juments non supplémentées. Pour la première fois, les scientifiques mettent également en évidence la moindre adaptation du métabolisme du glucose des juments lors de leur première gestation. Publiés dans Scientific reports le 23 avril 2019, ces résultats ouvrent des perspectives prometteuses pour la filière équine.
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Innover dans les approches ou les concepts permet d'imaginer de nouveaux itinéraires technologiques ou de nouvelles fonctionnalités pour les produits alimentaires. Un travail de synthèse de l'INRA montre comment les concepts de la physique de la matière molle permettent de contrôler les interactions et processus d'assemblages entre protéines, qu'elles soient d'origine animale ou végétale.
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Pollution des sols et des eaux, résistance des bioagresseurs ou encore réduction de la biodiversité… Les pesticides ont des effets néfastes pour l’environnement. Et si, pour favoriser la transition agricole, nous utilisions les synergies naturelles entre les plantes et les microorganismes du sol ? Mycophyto, jeune pousse basée à Sophia Antipolis, propose des alternatives biologiques efficaces pour l’agriculture et l’aménagement paysager. Rencontre avec Justine Lipuma, co-fondatrice de Mycophyto.
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Un consortium français piloté par l’Inra, en collaboration avec l’Inserm, les universités de Lyon et de Clermont Auvergne, les Hospices Civils de Lyon, les Centres de Recherche en Nutrition Humaine Rhône-Alpes et Auvergne, vient de montrer que la consommation de certains lipides présents naturellement dans les produits laitiers (appelés « lipides polaires ») pourrait réduire le risque cardiovasculaire chez les femmes ménopausées et en surpoids, en réduisant leur taux sanguin de cholestérol LDL (dit « mauvais cholestérol ») et de triglycérides. Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont intégré pendant un mois un produit fromager enrichi en lipides polaires laitiers dans l’alimentation habituelle des volontaires. Les scientifiques ont montré certains mécanismes dans l’intestin pouvant expliquer les effets observés. Ces composés naturels pourraient ainsi être à l’origine d’une nouvelle stratégie nutritionnelle visant à réduire le risque cardiovasculaire parmi les populations à risque. Ces travaux sont publiés le 12 juin dans la revue Gut.
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Nos partenariats, nos projets |
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MaaT Pharma élargit son portefeuille de brevets grâce à la délivrance de 3 nouveaux brevets couvrant sa plateforme de développements de produits biothérapeutiques pour la restauration des fonctions du microbiome.
> Premiers brevets couvrant les procédés permettant le développement de médicaments biothérapeutiques à partir du microbiome intestinal. > Les dispositifs développés par MaaT ont obtenus le marquage CE pour leur utilisation pour la collecte d’échantillons intestinaux et l’administration aux patients de produits biotherapeutiques dérivés d’échantillons intestinaux.
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Comparaison/évaluation des méthodes de la surveillance du contrôle des maladies du bétail non réglementées dans l’UE
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Lauréat de l’appel à projet Soutien à la recherche 2018 de l'I-Site MUSE, le projet « eCO2THREATS » s’intéresse à un aspect encore méconnu et incompris du changement global : l’effet négatif de l’élévation du CO2 atmosphérique sur le statut minéral des plantes et la menace qu’il fait peser sur la qualité nutritionnelle des aliments du futur.
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Le 28 mai 2019, Philippe Mauguin, président directeur général de l’Inra et Dominique Larue, Président de l’Union nationale des CPIE (Centres permanents d'initiatives pour l'environnement), ont signé un nouvel accord-cadre de collaboration. Ce nouveau partenariat cible des sujets d’intérêts communs renouvelés et permettra de renforcer les relations entre l’Inra et l’UNCPIE à travers des rencontres entre responsables associatifs et scientifiques, la co-construction de séminaires ou encore l’élaboration conjointe de projets participatifs.
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Conformément aux axes de son Plan d’Action Innovation, l’INRA, avec les Arts & Métiers, le CEA, l’ONERA, Sorbonne Université et l’UTC, participe au Studio de l’Innovation de l’ANRT. L’accompagnement regroupé sur 2 journées permet aux entreprises de ;
- Bénéficier d’une analyse sur-mesure de leurs besoins
- Accéder plus rapidement aux bonnes compétences
- Explorez la puissance d'un réseau de 6 établissements de recherche.
Après une première journée consacrée a...
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Les travaux de recherche actuels sur le microbiome indiquent que celui-ci recèle un potentiel important pour la santé humaine et planétaire. Cependant, le domaine de recherche est encore entravé par des résultats contradictoires, des méthodes non alignées et une duplication des ressources. MicrobiomeSupport est un projet financé par la Commission européenne de novembre 2018 à octobre 2022 et financé à hauteur de 3,5 millions € pour traiter les problèmes de la recherche sur le microbiome. Il est coordonné par Angela Sessitsch de l’Institut autrichien de technologie (AIT) et co-coordonné par Emmanuelle Maguin (INRA, directrice du métaprogramme MEM – Métaomiques & écosystèmes microbiens).
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Quels étaient les cépages en vogue aux temps anciens ? Ressemblaient-ils à ceux que nous cultivons aujourd’hui ? Un consortium international impliquant l’Inra, le CNRS et l’Université de Montpellier1, vient d’offrir un regard nouveau sur la viticulture à l’époque romaine et médiévale. Les chercheurs ont séquencé l’ADN de 28 pépins retrouvés dans des sites archéologiques en France, puis ont comparé leur génome à celui de cépages modernes. Ils ont ainsi retrouvé le Savagnin blanc, un cépage populaire dans le Jura, dans un site archéologique datant du Moyen-Âge, près d’Orléans. Ils ont aussi établi des liens de parenté entre des cépages comme le Pinot Noir et la Syrah et des variétés romaines. Ces recherches montrent que les viticulteurs romains propageaient leurs cépages par bouturage à travers d’amples territoires. Ces recherches, publiées le 10 juin 2019 dans Nature Plants, ouvrent la voie à une véritable généalogie des cépages et offrent de nouvelles perspectives sur les caractéristiques des vins anciens.
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Les quatre Carnot portés par l'Inra |
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Vos portails thématiques vers la recherche publique !
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| Qualiment
Direction : Catherine Renard Chargée d'affaires : Pauline Souvignier
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| France Futur Élevage
Direction : Thierry Pineau Chargée d'affaires : Fanny Wacquet
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| Bioénergies, biomolécules et matériaux biosourcés du carbone renouvelable
Direction : Jean Tayeb Chargée d'affaires : Coraline Caullet
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| Plant2Pro
Direction : Carole Caranta Chargées d'affaires : Alice Valles et Fiona Bourdoncle
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« Carnot » est un label accordé par le Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche. Ce label vous garantit l'excellence scientifique des laboratoires de recherche ainsi que le professionnalisme quant à la gestion des contrats de recherche et la relation partenariale. |
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REFUGE – Risques en Fermes urbaines : Gestion et Evaluation
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l’INRA a développé un outil d’aide à la décision « papier » (guide méthodologique) qui permet d’évaluer et de gérer le risque sanitaire – chimique, biologique, physique - relatif à la présence de polluants dans les sols urbains. Il s’applique à toutes les formes d’agriculture urbaine.
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Carrefours de l'Innovation Agronomique
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Contenu multimédia |
Biodiversité et durabilité des agricultures
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Faune, flore voire microorganismes… nombreux sont les travaux scientifiques qui tirent encore et toujours la sonnette d’alarme à propos du déclin de la biodiversité. Parce qu’un tiers de la surface terrestre est aujourd’hui dévolu à des usages agricoles, l’articulation de l’agriculture et de la biodiversité demeure une préoccupation majeure. Dix années après l’expertise collective « Agriculture et biodiversité : des synergies à valoriser » réalisée par l’Inra, le colloque du 11 avril 2019 a été l’occasion de revisiter la prise en compte de la biodiversité par le secteur de l’agriculture et d’illustrer les avancées réalisées tout autant que le chemin qu’il reste à parcourir. Interviews video.
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Revue Fourrages n° 237
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Le thème de ce numéro porte sur l’agronomie et l’écologie pour comprendre et gérer les prairies.
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Revue Sesame numéro 5
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Dans son cinquième numéro, Sesame consacre un dossier de huit pages au cannabis thérapeutique. Parallèlement à ce débat, difficile de ne pas faire un pas de côté pour effleurer les questions que soulève sa consommation à des fins récréatives, en l’abordant sous un angle peu commun, celui des marchés interdits et de leurs effets. Parmi les autres sujets, le gaspillage alimentaire, les nouvelles routes de la soie : la sino-mondialisation, la biodiversité...
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Biofilms
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Cet ouvrage nous fait découvrir comment des microbes qui « dialoguent » entre eux, échangent des gènes et s’adaptent aux conditions d’une microsociété en perpétuelle évolution, acquièrent les étonnantes capacités de colonisation et de résistance caractéristiques des biofilms.
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Nos abeilles en péril
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Cet ouvrage démêle la part des faits vérifiés des simples rumeurs. Aux pesticides s’ajoutent d’autres facteurs : maladies, parasites et prédateurs, pratiques agricoles et apicoles, mais également changement des milieux et du climat, et effet de synergie pesticides-pathogènes. Comment enrayer ce phénomène en France et dans le monde ?
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La permaculture ou l'art de réhabiter
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La permaculture est un mouvement écologiste qui a connu une remarquable croissance transnationale, à partir des années 1980 Laura Centemeri (auteur)
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